Speed

Jack Traven et son coéquipier Harry, de la brigade anti-gang de Los Angeles, n'ont pas leur pareil pour venir à bout des truands les plus résistants. C'est ainsi que ce tandem de choc parvient à libérer les usagers d'un ascenseur qu'un maître chanteur chevronné, Howard Payne, retenait en otages. Il semble même que Payne ait péri dans l'explosion de sa bombe. Vaine illusion. Ivre de rage, le psychopathe installe une nouvelle bombe dans un bus. L'engin explosera si la vitesse du bus descend en-dessous de la barre des 70 kilomètres à l'heure. Jack parvient à prendre place dans le véhicule. Une passagère, Annie, le seconde fort utilement en prenant la place du chauffeur, grièvement blessé dans une bagarre avec un passager. Jack parvient à détourner le bus vers une autoroute désaffectée... -- Critique : Tout est dans le titre. Vite ! Vite ! Toujours plus vite. D'ailleurs, si on ralentit, on meurt, puisque le deuxième mouvement du film repose sur l'obligation pour un bus de ne pas rouler au-dessous de 80 km/h sous peine d'exploser ! Action !