Le jour de vérité

Le corps de Bernard Feyermann, responsable de la sécurité dans une centrale nucléaire alsacienne, vient d'être retrouvé dans le Rhin, abattu par balles. La procureure allemande Marie Hoffmann et le commissaire de police français Jean-Luc Laboetie commencent leur enquête. Au même moment, David Kollwein, un ancien salarié du site, s'introduit dans la salle de commande du réacteur. Traumatisé par la perte de sa fille, emportée par une leucémie due à un incident nucléaire dissimulé par les autorités, il menace de provoquer une réaction en chaîne depuis le coeur de la centrale. A moins que le ministre français de l'Energie et Feyermann, dont il ignore qu'il a été occis, ne reconnaissent publiquement, le soir même, que des négligences majeures impardonnables ont été commises...

Critique : Cette coproduction franco-allemande pleine d'ambition autour du nucléaire se révèle très décevante. Le premier volet - un drame qui sera suivi, demain vendredi, d'une comédie - dénonce les dangers de l'énergie nucléaire et les mensonges étatiques. Un téléfilm laborieux, sans rythme, avec des personnages à la psychologie aussi mince qu'une pale d'éolienne.

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