Une Ferrari pour deux

Un grand groupe industriel décide d'offrir une Ferrari à l'avant-centre de l'équipe de foot qu'il sponsorise. C'est André Herbault, membre important de l'entreprise, qui est chargé de conduire la Ferrari jusqu'à Monaco. En chemin, il prend en stop Vincent Saulnier, un chômeur. Sans travail depuis trois ans, Vincent a réussi à cacher sa situation à sa famille. Pour l'heure, il doit chercher sa fille, Olivia, dans la pension où elle poursuit ses études. C'est alors qu'il demande à André de lui laisser le volant de la Ferrari. Ainsi pourra-t-il faire croire à sa fille que tout va bien pour lui. André ne peut pas lui refuser cette faveur : il est en effet à l'origine du plan social qui a laissé Vincent sur la paille...

Critique : Sur l'autoroute entre Paris et Monaco, au volant d'une Ferrari, un DRH aux dents longues (Bernard Le Coq) prend en stop un chômeur en pleine galère (Pierre Arditi). Le choc des clichetons accouche d'un téléfilm aussi prévisible qu'efficace. De quoi laisser poncif.

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